Vivre le festival Lumière 2021

Le cinéaste espagnol Juan Antonio Bayona a placé son œuvre sous le signe de l’imaginaire. Il en donne les clés.

Accompagné d’un casting cinq étoiles, sous un soleil éclatant et les applaudissements des festivaliers venus en nombre, Jane Campion a signé le traditionnel remake de Sortie d'usine Lumière.

C’est le film le plus connu de Jane Campion, une magnifique histoire d’émancipation féminine tournée dans des paysages sublimes. Voici quelques secrets de fabrication de La Leçon de piano.

Un jour, un bénévole : portrait de Marc Ella, auteur-compositeur-interprète.

La Belle Équipe est un grand classique du cinéma français et même mondial.

Ces trois films-là, vous ne les verrez pas de sitôt sur grand écran ! Ultime étape du voyage au pays de Gilles Grangier, grand cinéaste populaire.

Le premier film d’Eisenstein : révolutionnaire à tous les sens du termes.

Eastwood fête cette année ses cinquante de carrière de cinéaste, soit quarante films réalisés.

Un jour, un bénévole : portrait de Patrick Pailler, qui arejoint l’équipe de bénévoles du festival cette année.

Jane Campion est l’artiste des premières fois. Morceaux choisis d’une vibrante conversation avec le public lyonnais.

Habitué du festival Lumière, Gaspar Noé livre un film sidérant sur le couple et la vieillesse.

C’est en dévorant des films fantastiques, dont le premier Jurassic Park, que le catalan Juan Antonio Bayona est devenu un maître du genre.

Une œuvre coup de poing, lumineuse et drôle sur les maux de notre société et en particulier ceux du système hospitalier. Extraits choisis.

Réalisée entre 2002 et 2003, la trilogie Infernal Affairs réussit à construire une tragédie policière au lyrisme tout à fait universel et prenant.

Depuis trois ans, Josetxo Cerdan Los Arcos dirige depuis Madrid la Filmoteca Española. Il était à Lyon pour présenter la copie restaurée de Ce couple heureux.

Coup de projecteur sur Gentlemen and Miss Lupino de Clara et Julia Kuperberg.

Bruno Pavlovsky, Président des Activités Mode de Chanel et de Chanel SAS détaille l’histoire commune que la Maison, partenaire officiel du festival Lumière, partage avec le cinéma.

Un jour, un bénévole : portrait de Estelle Wolniewicz, bénévole au festival Lumière depuis 2013.

Récit noir livré aux ténèbres, La Soif du Mal, dernier film hollywoodien d’Orson Welles, offre un exercice de style virtuose.

Conscient des enjeux climatiques, le festival Lumière innove.

Jane Campion filme le corps des femmes, sans gêne, ni fascination fétichiste, mais avec simplicité et précision. Pour exalter la liberté de ses héroïnes.

Trois formidables films d’horreur nippons pour passer une nuit de frisson !

Empruntant toujours les chemins de traverse, avec un humour ravageur, lamythique actrice Bulle Ogier a conquis la salle de la Comédie Odéon. Une rencontre élégante, drôle et un peu fantasque, à son image.

Melvin Van Peebles, disparu il y a moins d’un mois, marqua le début de la «blaxploitation». Son fils, Mario, se souvient de son père dans ce texte donné à la presse américaine.

À la tête de la Cineteca – la cinémathèque - de Bologne et du festival Il Cinema Ritrovato – le cinéma retrouvé -, il consacre sa vie au cinéma de patrimoine.

De l’Afrique du Sud à l’Afghanistan, en passant par la Syrie et l’Érythrée : les bénévoles du festival venus du monde entier étaient mis à l’honneur ce jeudi matin au Village Lumière.

Vincent-Baptiste Closon, responsable Partenariats, Territoires affinitaires et Événementiel détaille l’action de la banque en faveur du cinéma.

2004. Le début du mois de juin est gorgé de soleil. Nous nous sommes tant aimés ressort dans les salles françaises, annonçant un été à la fois radieux, romanesque et mélancolique.

La documentariste Claudia Collao s’intéresse à Que Viva Mexico ! de Sergueï Eisenstein, un film qui n’a jamais existé.

« Le cinéma ce n’est pas mon travail, c’est ma vie » déclarait ce passionné de tout, et notamment d’architecture, au festival de Cannes en juillet dernier.

La réalisatrice Bette Gordon et la photographe Nan Goldin présentant Variety

Une fausse comédie musicale au scénario invraisemblable et savoureux. Grangier 1^ère manière.

Petits et grands n’ont pas boudé leur plaisir en retrouvant Shrek, le célèbre ogre vert ce mercredi après-midi à l’Hôpital Femme-Mère-Enfant de Bron.

La comédienne Bulle Ogier a tracé un chemin singulier ponctué de grandes fidélités à des cinéastes inclassables.

Au crépuscule du cinéma muet, Julien Duvivier signe un drame maritime éblouissant.

Patron de la revue Positif et du Masque et la Plume, auteur du très beau livre Jane Campion par Jane Campion (Cahiers du Cinéma), Michel Ciment offre son analyse éclairée de l’œuvre de la cinéaste néo-zélandaise.

Dans Marx Peut Attendre, le réalisateur italien enquête sur un drame familial qui a hanté son oeuvre : le suicide de son frère jumeau à 29 ans.

Pas d’interrogation écrite, ni d’examen blanc du Baccalauréat ce mardi pour les élèves du lycée Guillaume-Fichet de Bonneville.

Résurrection d’un film considéré comme perdu : Le Roi du Cirque, de Max Linder.

Projeté sous la bannière Trésors et curiosités, Ah ! Ca ira, du Hongrois Miklós Jancsó, est une oeuvre unique.

Un jour, un bénévole : portrait de Asije Harizaj, bénévole au festival Lumière depuis 2018.

Nils Tavernier, le fils de Bertrand, et Charlotte Kady, son interprète, présentant L.627, de Bertrand Tavernier

Le directeur général d’OCS, Guillaume Jouhet, nous explique comment sa programmation reflète le festival lyonnais.

La genèse de Van Gogh, racontée par Sylvie Pialat, la dernière compagne du cinéaste.

Cette année le prix Bernard Chardère a récompensé Thierry Lounas, fondateur en 1999 de Capricci, qui produit et distribue des films mais qui édite aussi des ouvrages sur le cinéma…

Un jour, un bénévole : portrait de Chirine Docquin, bénévole au festival Lumière depuis sa création en 2009.

Une simple forêt, un groupe de femmes et d'hommes, voici La Fête et les invités, satire très bien organisée du cinéaste tchèque Jan Němec.

En cinq films, François Truffaut a tourné une oeuvre unique, la vie en temps réel et sur vingt ans, d'un personnage dont le nom aujourd'hui appartient au patrimoine mondial du cinéma : Antoine Doinel !

Retour sur les séances présentées par Irène Jacob et Rainer Rother.

Avant de livrer sa partition accompagnant le film Casanova d’Alexandre Volkoff, le chef d’orchestre se confie.

Avec l’élégance et l’humour qui le caractérisent, le compositeur Philippe Sarde est revenu sur son parcours à la Comédie Odéon.

Margaret Bodde a ouvert le MIFC en expliquant les missions de la Film Foundation, créée par Martin Scorsese.

J’avais déjà croisé l’ours. Ou à peu près. En fait, Brian de Palma et moi, ça tient plutôt du rendez-vous manqué.

Dans Jacques Tati, Tombé de la Lune, Jean-Marie Péretié raconte comment le méticuleux réalisateur fit de sa silhouette longiligne et de son regard malicieux sur les conventions un style inimitable.

Redécouvrir le polar de Bob Swaim c’est réaliser que la vision qu’on avait de la police avant sa sortie était terriblement datée. Le réalisateur évoque le contexte particulier de sa création.

Sydney Pollack était aussi un paysagiste, qui a inscrit son cinéma des sentiments dans l’Ouest sauvage ou en Afrique.

Retour sur les séances présentées par Samuel Le Bihan et Danièle Thompson.

Au cours d’une masterclass forcément enjouée, le fantasque Édouard Baer a distillé, de digressions en boutades, des anecdotes dont lui seul a le secret.

Et si Sydney Pollack, sous le romanesque, était le cinéaste de la mélancolie ? Ses héros s’abîment pour mieux renaître, dans une Amérique en crise. Analyse

Le philosophe a toujours pensé le cinéma comme un instrument de découverte du monde et des êtres. Notamment dans son célèbre documentaire, Chronique d’un été.

Un jour, un bénévole : portrait de Laurie Salat, chargée de l’accueil du public au sein de la librairie du village et lors de la remise du Prix Lumière.

Ce couple heureux est une comédie douce qui se penche sur le statut du jeune couple destiné au mariage, et proie des balbutiants privilèges du début de la société de consommation.

J’expliquais ici même comment je m’étais retrouvé au dernier domicile connu de Philippe Sarde pour un « grand » entretien.

C’est le début d’une amitié et le début d’une métamorphose.

Présenté à Cannes en 1984, Variety, le premier film de Bette Gordon, est le reflet saisissant du New York arty de l’époque. Flash-back.

Huit et demi et plus généralement les films de Federico Fellini pourraient être au cinéma ce qu'A la recherche du temps perdu de Marcel Proust est à la littérature

Un Auditorium plein comme un œuf a célébré hier la mémoire du réalisateur disparu. Avec une émotion rare.

Dimanche, le cinéaste italien Paolo Sorrentino a dompté son éternelle timidité pour se raconter devant les spectateurs de la Comédie Odéon.

"Je suis sûr que le sexe vous intéresse. C'est une bonne chose..."  prononce comme toutes premières phrases de Une affaire de coeur, un petit homme à moustaches, sorte de sexologue vieillissant.

Qu'il soit acculé, poussé par des situations psychologiques et physiques extrêmes dans Martin Roumagnac, Les Bas-fonds ou Au delà des grilles, une chose est sûre : pas question pour Jean Gabin de courir pour autant.

C’est un mot de Gabin, à qui l’on proposait un tournage dans le sud : « Passé la Loire, c’est l’aventure… »

« C’est quand qu’on arrive ? » Sur le chemin de la Halle Tony Garnier, les gones s’impatientent ce dimanche après-midi.

Amateur de reprises et cinéphile, la grande Jeanne Cherhal donne ce soir un concert « Cinéma », composé de chansons de films. Dont elle révèle l’élaboration savante.

Co-présidente et directrice artistique de Chopard, Caroline Scheufele explique les affinités entre le célèbre joailler, partenaire du festival Lumière, et le cinéma.

L’antre se trouve aux confins du 17^e arrondissement parisien, loin du tumulte gentrifié.

Un jour, un bénévole : portrait de Raphaëlle Billon Keravec, bénévole de la première heure !

Jean-Louis Trintignant se raconte sans détours dans Trintignant par Trintignant, un documentaire de Lucie Cariès. S’y dévoile un être profond et sensible, à la personnalité énigmatique.

Ida Lupino  est à l’honneur à Lumière : des projections et deux documentaires, Gentlemen and Miss Lupino, et Ida Lupino, la fiancée rebelle d’Hollywood de Géraldine Boudot, qui s’exprime sur le parcours de ce génie moderne un peu oublié.

La 3e édition du Salon du DVD réunit cette année au Village du MIFC seize éditeurs venus présenter au public leur catalogue.Trois éditeurs indépendants, Le Chat qui Fume, Extralucid Films et La Traverse répondent à nos questions

Tourné en 1953 durant la première étape mexicaine de Luis Buñuel, Él -Tourments, propose un portrait clinique et parfois comique d’un jaloux maladif.

Un jour, un bénévole : portrait d'Antoine Rouché, bénévole du festival Lumière pour la première fois.

Une adaptation noire et poisseuse de Simenon, portée par une distribution haut-de-gamme. L’un des meilleurs films d’Édouard Molinaro.

François Cluzet a tenu l’un des rôles principaux d’Autour de Minuit (1986), le grand film de Bertrand Tavernier sur le jazz, illuminé par la présence du saxophoniste Dexter Gordon. Le comédien se souvient.

Il a été l’un des plus grands cinéastes français, le président de l’Institut Lumière et il a longtemps rêvé de ce festival qui aujourd’hui lui survit.

Imaginez Meryl Streep, Anna Magnani, ou Isabelle Huppert réaliser, entre quelques grands rôles, des films intimes et même des fresques épiques...

Je disais donc que la seule fois où j’ai vu Bertrand Tavernier à l’œuvre, c’était en octobre 2009 quelque part dans le Cantal.

Franck Lhomeau, historien du roman policier, qui a édité, présenté et annoté l’ouvrage, nous explique qui était l’auteur du Cave se rebiffe. 

Commencer le Festival Lumière 2021 par du rire, de l’émotion, et une réflexion ludique sur la puissance du cinéma : quelle merveilleuse idée !

Programmatrice de l’Institut Lumière et du Festival Lumière, Maelle Arnaud nous présente l’édition 2021 et s’enthousiasme de la curiosité du public lyonnais.

Le premier film de Sydney Pollack, rarement montré, est servi par deux magnifiques acteurs, et un suspense en temps réel.

En observant sa ville, Naples, le grand cinéaste italien Paolo Sorrentino a nourri sa vision du monde et trouvé son style, baroque et spectaculaire.

Acteur, réalisateur, homme de radio, interprète fidèle et vaillant de Patrick Modiano, Edouard Baer est tout cela, et plus encore...

Actrice inventive et audacieuse, Maggie Gyllenhaal passe derrière la caméra avec The Lost Daughter, d’après Elena Ferrante.

Bertrand Tavernier n’est peut-être plus là mais il est encore partout.

Directeur général du groupe Adéquat, groupe spécialiste d’intérim et de recrutement, Jérôme Rieux nous explique en quoi le festival Lumière est l’objet d’une action inventive

Première séance de l’hommage à Gilles Grangier : un polar comme ile cinéaste français savait les faire, mais aussi un peu plus que ça…